La seule et unique raison pour laquelle je ne poste pas autant: le syndrome de l’imposteur accompagné de son ami le perfectionnisme. Tu connais? Comme moi, tu les as peut-être déjà rencontré 🙂
Sans Transition
J’enchaîne avec un sujet déjà évoqué sur le podcast, qui mérite qu’on s’y attarde un peu plus. Il me porte à coeur et j’ai envie d’aider le plus grand nombre: comment se sentir moins seul… dans une société qui nous encourage à rester confiné.
Et oui, la solitude c’est LE mal (être) du siècle. Surtout depuis le premier confinement.
Découverte #2: Alors que je regardais une (autre) vidéo d’Eckhart Tolle sur le sujet Does a Relationship Complete us? (traduction: est-ce que une relation nous complète). Je découverte qu’en anglais il y a deux mots pour parler de « solitude ». Le Cambridge Dictionary propose les définitions suivantes:
#1 Solitude : the situation of being alone without other people.
#2 Loneliness : the state of being lonely.
« Solitude is beautiful. Loneliness is not » [12 min]
« Solitude is to be alone and to be surrendered into that aloneness. Loneliness is to be alone and hate it. Not wanting this. When you surrender into aloneness it become solitude and solitude even become more than that. It becomes the deep sense of connectedness. »
Traduction de l’extrait (avec beaucoup de répétitions car en anglais ils ont trois mots pour dire solitude): La solitude (Solitude) c’est être seul et se laisser vivre dans la solitude (Aloneness). La solitude (Loneliness) c’est être seul et détester cet état. Ne pas le vouloir. Lorsque vous vous abandonnez à la solitude (Aloneness) ça de vient de la solitude (Solitude) et ça devient même plus que ça…
Pour Eckhart, la « Solitude » peut être quelque chose de beau et de positif. Surtout lorsqu’elle est choisie.
Tandis que la seconde (Loneliness), c’est une émotion passagère. Il nous invite à la ressentir dans son entièreté. Il y a une sorte de « sensation particulière » à cette solitude appelée « loneliness ». On lui donne un label. Elle ne va pas nous tuer. Elle ne va pas nous consommer. Elle va consommer l’ego. Elle est beaucoup plus difficile lorsqu’elle est imposée. Loneliness c’est être seul et détester être seul.
Alors j’ai apporté mon histoire: dans cet épisode du podcast, je vous parle de mon parcours de la solitude. Comment je suis passée de la solitude subite à un état de solitude choisie et vécue plus positivement que jamais auparavant.
Nombreuses références sont présentes dans cet épisode. En voici quelques unes…
Carl Jung: « La solitude ne vient pas de l’absence de gens autour de nous, mais de notre incapacité à communiquer les choses qui nous semblent importantes ».
Robbin WIlliams: « J’ai toujours pensé que le pire truc qui pourrait nous arriver dans la vie c’est de finir sa vie tout seul… mais c’est faux. Le pire truc qui pourrait nous arriver c’est de finir notre vie entouré de personnes qui nous font se sentir seul. » [Original Quote: « I used to think the worst thing in life was to end up all alone. It’s not. The worst thing in life is ending up with people who make you feel all alone ». – From the 2009 film “World’s Greatest Dad” that was written and directed by Bobcat Goldthwait.]
Nietzsche: La peur de la solitude voudrait dire que nous avons peur de nous-même. Il disait: » Il est difficile de vivre avec des humains parce qu’il est difficile de se taire. Celui qui loue fait semblant de rendre, mais, en vérité, il veut qu’on lui donne. Votre mauvais amour pour vous-même fait pour vous de la solitude une prison. »
Dostoevsky: pour lui la solitude pour l’esprit est aussi essentielle qu’est le nourriture pour le corps. La solitude permet alors de nourrir notre indépendance dans nos relations aux autres.
Rainer Maria Rilke: « Une seule chose est nécessaire: la solitude. La grande solitude intérieure. Aller en soi-même et ne rencontrer pendant des heures personne, c’est à cela qu’il faut parvenir. Être seul, comme l’enfant est seul… »
Ma philosophie personnelle, comme au fil des saisons: Au printemps il est temps de sortir, de s’ouvrir au monde. L’automne nous invite lui à nous retirer et nous recentrer sur nous-même. Je crois que c’est pareil pour les moments de partages et les moments de solitudes.
Je te propose un #challenge du jour, parfait pour un samedi… Va dans une librairie 📚, La plus proche de 🏠 chez toi. Balade toi, avec tous tes sens en alerte🚨, l’odeur du papier, la texture d’une couverture, les bruits environnants👂. Puis choisis un livre qui sort de l’ordinaire, qui attise ta curiosité 👀. Ouvre le 📖 au hasard… Et si ce passage fait echo, Partage le ❤️ Share it #challengedusamedi🌈
Bienvenue sur un nouvel épisode du podcast Syndrome Imposteur. Le podcast qui t’aide à dépasser tes doutes et tes peurs. Aujourd’hui, je t’emmène à la rencontre d’Alexandre Marotel, fondateur deTwaino. Une agence dédiée au référencement naturel (SEO).
Qu’est-ce que ça veut dire le « référencement naturel »? C’est ce qui fait venir les « visiteurs » naturellement sur ton site à travers des recherches Internet (sans publicité et sans réseaux sociaux). Le meilleur est ton référencement naturel le plus tu apparaitra dans les premiers résultatsdes recherches Google…
Au sommaire de cet épisode:
Première Partie
Présentations et Introduction
Son Parcours
C’est en forgeant qu’on devient forgerons. C’est en entreprenant qu’on devient entrepreneur.
Ses débuts d’entrepeneur
L’importance d’avoir une audience
Traction et traffic organique
10 000 visites en un peu moins d’un an
Apprentissage autodidacte
« Aujourd’hui on a plus le droit d’être con »
Surcharge informationnelle et infobésité
Apprendre en faisant
Le paradoxe entre rester dans zone de confort et entreprendre
La valeur « Liberté »
L’importance d’être « excessif »: « je ne me suis pas donné de plan B »
« C’est tout ou rien ! »
Travail, rigueur et méthode…
Monter une boîte en autofinancement
Sa stratégie de lancement
Le« reach » : combien de personnes vont voir ton contenu (après publication)?
LinkedIn vs. Instagram + Facebook
Son expérience du syndrome de l’autodidacte
Le choix de devenir auto entrepreneur
Le regard des autres (et celui des parents)
Être capable de se regarder dans la glace: « est-ce que je me respecte suffisamment? »
Deuxième Partie
« Être un excellent élève sans aller à l’école » (35:00)
Le point commun entre David Lynch et The Beatles ?
TM Meditation
On raconte que la méditation est une « mode ». Elle date depuis un bout de temps! Si on se réfère à une interview avec Paul McCartney et David Lynch, les Beatles se sont initiés à la méditation (de type « TM ») tôt, en 1968, sous les recommandations de la femme de Georges Harrison. Un voyage en Indes et une initiation à la méthode va littéralement les transformer en donnant lieu à un nouvel album en un lapse de temps record.
Ce voyage marquera une période: la plus créative… 48 chansons, la plupart retrouvées sur le White Album. Initialement prévu pour trois mois, il sera coupé court suite aux allégations contre Maharishi. Aisni, Lennon déclare sur le sujet (The Beatles Anthology) : « Nous avons fait une erreur là bas. Nouscroyons en la méditation mais pas en Maharishi. Nous pensions qu’il était quelqu’un d’autre que ce qu’il a pu prétendre. »
Harrison et Lennon étaient les plus engagés dans cette discipline:
« J’étais dans une pièce pendant cinq jours, en train de méditer. »
« J’ai écrit des centaines de musiques. Je ne pouvais pas dormir et j’hallucinais comme un fou, à faire des rêves où l’on pouvait sentir. J’en faisais quelques heures puis je faisais trois ou quatre heures de croquis. C’était juste une façon d’y accéder, et vous pouvez partir dans des trips incroyables. »
John Lennon
Il est important de noter ici que le seul « outil » utilisé est la méditation. Aucune substance n’a été prise au cours de cette expérience. Personnellement, je ne suis jamais tombée dans ce schéma étrange de la drogue. Tous mes amis qui en consommaient ne me donnaient clairement pas envie, vu l’état dans lequel ça les mettait… La méditation fait partie de ces exemples simples. Vous n’avez pas à ingurgiter une substance pour ressentir des choses qui sortent de l’ordinaire. Ce phénomène s’explique scientifiquement.
TM signifie méditation transcendantale. À prendre à sa juste mesure car aujourd’hui le terme est déposé et protégé au point où il devient difficilement accessible (en effet, des cours pour apprendre la Meditation « TM » sont exorbitants). Marque déposée oblige, une méthodologie ancestrale enseignée initialement par des personnalités comme Maharishi Mahesh Yogi. Je ne trouve ça ni correcte, ni juste. On ne change pas un système qui repose encore et toujours sur les mêmes bases. Là n’est pas la question de cet article. C’est un débat sans fin.
Mon enseignement de la méditation.
Si on se réfère à l’histoire, il y a de multitudes façons de méditer. Ce que j’aime c’est m’adapter à chacun de mes clients pour leur transmettre la « méthode » qui correspond à leur « mode de fonctionnement ». J’ai déjà eu l’opportunité de pratiquer ce qu’on appelle officiellement TM Meditation, non dans le cadre d’une formation officielle (je tiens à le préciser) mais j’en connais les bases et je les ai toujours adaptées à ma propre pratique (personnelle). La particularité TM étant la suivante:
On y consacre deux fois 20 minutes par jour (ce n’est pas tout le monde qui peut se permettre autant de temps, d’où le besoin de s’adapter à chacun d’entre nous qui n’aura pas la même capacité de concentration sur un lapse de temps aussi long). La méditation se base sur un mantra qui nous est donné en début d’enseignement. Soit disant la « formule secrète » tant cachée par l’organisme officiel (TM).
Envie de pratiquer ou d’apprendre à méditer?
Je pratique la méditation depuis 6 ans, et je l’enseigne aux plus jeunes comme aux grands pour les aider à dépasser des situations de stress ou des angoisses qui les empêchent d’avancer dans leur quotidien. Prenez rendez-vous avec moi pour en discuter. C’est gratuit.
Credits Photo:John Pratt/Keystone/Getty
Ressources:RollingStone Journal, TM Meditation, Interview between McCartney and Lynch
Une question pour toi: est-ce que tu te donnes la permission de faire l’artiste quitte à paraître ridicule?
Ethan Hawke est un acteur, écrivain, musicien américain connu pour ses rôles dans: Before Sunrise (1995), Before Sunset (2004), Before Midnight (2013) ainsi que Boyhood (2014). À l’occasion d’un Ted Talk donné en juin dernier (2020) il nous parle de créativité.
C’est mon job en tant que poète.
Nous doutons tous de notre créativité. À sa rencontre avec Allen Ginsberg, il découvre quelque chose d’énorme (une histoire), qui va changer sa vie:
Après une apparition sur la télévision new-yorkaise, Allen Ginsberg rentre chez lui et tout le monde lui dit: « Tu te rends compte que tout le monde te prend pour un imbécile, et que le pays entier se moque de toi? ». Il leur répond: « C’est mon job. Je suis poète et je vais continuer à faire l’imbécile. La plupart des gens doivent aller travailler toute la journée, ils rentrent chez eux, ils se disputent avec leur partenaire, ils mangent puis allument la vieille télé. Quelqu’un essaye de leur vendre quelque chose, et là je viens tout faire foirer! Je suis venu chanter Krishna, et maintenant ils sont dans leur lit en train de se dire « qui est ce poète stupide? » Et, ils ne peuvent pas s’endormir, en plus! ». C’est mon job en tant que poète.
La créativité nous en avons tous besoin.
Ethan trouve cet aperçu très libérateur. Il va plus loin dans le raisonnement en y ajoutant:
« La majorité d’entre nous souhaite offrir au monde quelque chose de qualité, quelque chose que le monde considèrera comme bon ou important. Alors qu’en fait, c’est l’ennemi, parce que ce n’est pas à nous de décider si ce que l’on fait est bon. Et si l’histoire nous a appris quelque chose, c’est que le monde est un critique particulièrement peu fiable. »
« Donc, tu dois te poser la question: Est-ce que la créativité humaine compte? Et bien. La majorité des gens ne passent pas son temps à penser au sujet de la poésie. Ils ont une vie à vivre, et ils ne se sentent pas concerné par les poèmes d’Allen Ginsberg…, jusqu’au jour où leur père décède, ils vont aux funérailles, tu perds un enfant, quelqu’un brise ton coeur, ils ne t’aiment plus, et soudainement tu es désespéré à l’idée de trouver un sens à ta vie. Puis, « Est-ce que quelqu’un s’est senti aussi mal dans la vie? Comment s’en sont-ils sortis? »
« Ou l’inverse – quelque chose de super. Tu rencontres quelqu’un et ton coeur explose. Tu aimes cette personne tellement, tu ne peux même pas voir clairement. Tu sais que tu es étourdi. « Est-ce que quelqu’un a ressenti ça avant moi? Qu’est-ce qu’il m’arrive? » Et ainsi, l’art n’est plus un luxe, c’est en réalité une subsistance. Nous en avons tous besoin ».
En parlant de ses débuts en tant qu’artiste (acteur et comédien), il relate l’importance des belles choses qui nous rendent ébahis. Pour lui, nous sommes ici sur terre pour tenter nous aider les uns, les autres. En premier lieu, il nous est demandé de survivre, puis de prospérer. Pour prospérer, pour nous exprimer, nous devons nous connaitre davantage. Dès son premier rôle à l’âge de 12 ans, il raconte son amour pour le théâtre, son monde s’est alors élargi et cette profession (encore aujourd’hui à presque 50 ans) lui rend de plus en plus chaque jour. À travers les personnages qu’il a pu jouer.
Qu’est-ce que nous aimons? Si nous nous rapprochons de ce que nous aimons, la personne que vous êtes vous sera révélée, et ça s’étendra.
Nous sommes tous connectés.
À travers la diversité de ces personnages (criminel, prêtre ou voyou) il se rend compte qu’il a beaucoup en commun avec ces personnes.
« Alors, tu commences à voir à quel point nous sommes tous connectés ».
Il relate l’histoire de son arrière-grand-mère. Sur son lit de mort, elle a demandé à écrire une petite biographie, qui fait 36 pages. Elle a passé cinq pages sur la fois où elle a fabriqué des costumes pour une pièce. Son premier mari n’a eu qu’un paragraphe. La production de coton, pour laquelle elle a travaillé 50 années, a obtenu une simple mention. Pour lui, elle s’exprimait à travers ses costumes, et c’est un pouvoir, un vrai pouvoir.
Nous le savons tous. Le temps d’une vie est court. Comment le dépensons-nous? Est-ce que nous passons ce temps à faire ce qui est vraiment important pour nous? La majorité répondra que non. En réalité, c’est difficile. Notre attrait aux habitudes a son importance. C’est ce qui rend les enfants tellement beaux créativement parlant. Ils n’ont aucune habitude, et ils ne prêtent pas attention à savoir s’ils sont bons ou non. Ils ne construisent pas un château de sable en se disant:
« Je pense que je vais devenir un très bon bâtisseur de château de sable ». Ils ne font que se jeter dans le projet face à eux – danser, peindre, construire: peu importe l’opportunité qu’ils ont, ils l’utilisent pour exprimer à travers elle, toute leur individualité. C’est tellement beau… »
Pour t’exprimer, tu dois te connaitre.
Il termine en parlant de ses inquiétudes au sujet de la créativité aujourd’hui. Ce qu’on raconte d’elle, comme quelque chose d’annexe, d’abstrait ou un luxe.
Quelque chose m’inquiète de temps à autre lorsque l’on parle de créativité, on a l’impression que c’est juste sympathique (nice), que c’est chaleureux, ou que c’est plaisant. Ça ne l’est pas. C’est vital. C’est de cette façon que nous nous guérissons les uns, les autres. En chantant nos musiques, en racontant nos histoires, en vous invitant à dire « Hey écoute moi, et je t’écouterai ». Nous entamons un dialogue. Lorsque tu fais ça, la guérison a lieu, on sort de notre coin et on commence à remarquer, être témoin, témoigner de notre humanité commune. On commence à l’affirmer. Et lorsqu’on le fait, de bonnes choses prennent place.
Donc si tu veux aider ta communauté, ta famille, tes amis, il te faut t’exprimer. Pour t’exprimer, tu dois te connaitre. C’est en vérité très facile. Tu dois juste suivre ce que tu aimes. Il n’y a pas de chemin. Il n’y a pas de chemin tant que tu ne l’as pas arpenté. Et tu dois être prêt à faire le fou. Ne lis pas les livres que tu devrais lire, lis les livres que tu veux lire. N’écoute pas la musique que tu as pour habitude d’aimer ou d’écouverte. Prend du temps pour écouter de la nouvelle musique. Prends du temps pour parler à quelqu’un à qui tu ne parles pas normalement. Je te garantis, si tu fais ça, tu vas te sentir ridicule. C’est le but. Fais l’idiot.
« Kepler réalise quelque chose de crucial et d’irréductible au sujet de la psychologie humaine: la preuve scientifique était trop complexe, trop laborieuse, trop abstraite pour persuader, pour le moins ses pairs, encore moins un public scientifiquement illettré; ce ne sont pas les données qui pourraient démanteler leur esprit de clocher céleste, mais la narration (raconter des histoires). Trois siècles avant que le poète Muriel Rukeyser n’écrive « l’univers est fait d’histoires, pas d’atomes, » Kepler savait que peu importe la composition de l’univers, sa compréhension était, en effet, le travail d’histoires, pas de science – ce dont il avait besoin c’était une nouvelle rhétorique par laquelle il pourrait illustrer, de façon simple mais irréfutable, quela Terre est effectivement en mouvement. Ainsi, Le Rêve était né.«
[Distillerie & Partage] Nouvelle saison, Été 2020:
Syndrome Imposteur, le Podcast. Un podcast produit par Solybox, dont l’unique but est de t’aider à dépasser tes peurs! D’après les experts, nous sommes 70% à l’avoir expérimenté au moins une fois, si ce n’est plus? Et ce, dans tous les domaines de vie: à l’école, au travail ou à la maison. Appelé aussi Syndrome de l’autodidacte, il s’exprime par une forme de doute maladif : peur de tromper notre entourage, peur d’être démasqué, peur de ne pas être accepté pour qui l’on est…
À travers des monologues, des conversations et des témoignages inspirants, tu découvriras très vite que tu n’es pas seul(e)! Alors rejoins-nous (moi et mes invités) et surtout, parles-en autour de toi !
Bienvenue sur le podcast Syndrome Imposteur. Un podcast produit par Solybox, dont l’unique but est de t’aider à dépasser tes doutes et tes peurs à travers des témoignages et remèdes inspirants.
Sans Transition
J’enchaîne avec un sujet déjà évoqué sur le podcast, qui mérite qu’on s’y attarde un peu plus. Il me porte à coeur et j’ai envie d’aider le plus grand nombre: comment se sentir moins seul… dans une société qui nous encourage à rester confiné.
Et oui, la solitude c’est LE mal (être) du siècle. Surtout depuis le premier confinement.
Après avoir fait deux découvertes cette semaine:
Découverte #1: Le Japon a nommé un ministre de la solitude suite à une hausse inquiétante du taux de suicides dans le pays. (source: Le Journal du Dimanche)
Découverte #2: Alors que je regardais une (autre) vidéo d’Eckhart Tolle sur le sujet Does a Relationship Complete us? (traduction: est-ce que une relation nous complète). Je découverte qu’en anglais il y a deux mots pour parler de « solitude ». Le Cambridge Dictionary propose les définitions suivantes:
#1 Solitude : the situation of being alone without other people.
#2 Loneliness : the state of being lonely.
Citation de la vidéo [12 min] : « Solitude is beautiful. Loneliness is not »
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-Credits-
Host : Camille Havis
Son (musique) : Spit it Out de Kaituhi
Dans cette vidéo je vous parle du télétravail. Un nouveau mode de fonctionnement qui nous dépasse. Pour nombreux de mes clients, la crise sanitaire n’a pas attendu qu’ils soient prêt pour s’y mettre. Alors je vous propose une mini session coaching en vidéo sur le sujet. Un point très important pour débuter: comment poser ses limites à la maison ?