
Hier, j’ai pris beaucoup de plaisir à enregistrer un tout nouvel épisode du podcast Syndrome Imposteur. Où j’explique ce choix de vie « sans réseaux » (plus de précisions sur ce point dans mon précédent article) et le lien avec la notion de « libre arbitre » que je trouve importante d’évoquer surtout en cette période.
Pour information, j’ai mis en lien (ci-dessous) l’article anglophone qui m’a inspiré ce post. Un post spécial rentrée évoquant des points essentiels que je donne en classe aussi à mes élèves.
Plus que jamais, le sujet est d’actualité. Dans un monde où penser trop fort peut être reproché et où la pensée unique tend à son apogée. Il serait important de rappeler: le libre arbitre de chacun. Qui suis-je pour savoir ce qui est juste et bon pour l’autre? Qui suis-je pour être certain ou certaine que cette solution « unique » est juste sur le long terme et pour le monde entier?
D’autre part, je nous invite toutes et tous à faire la part des choses, surtout en ce moment, entre ce que la vie nous propose de vivre et notre part du travail.
Il y a l’expérience qui nous est proposée aujourd’hui en tant que citoyen(ne), mère, père, ami(e), conjoint(e), collègue…
Puis la part, l’autre part dont je suis l’unique acteur ou actrice.
Dans la vie il y a des choses qui sont décidées pour nous qu’on le veuille ou non. Certaines personnes l’appelle « destin », d’autres disent que c’est de la « logique » (science infuse).
Puis il y a cette partie que nombreux d’entres nous tend à oublier, surtout aujourd’hui. Beaucoup de focus apporté sur l’extérieur. Pas suffisamment à l’intérieur. Nous oublions notre part. Nous oublions qu’au fond tout est juste. Assumons-nous notre rôle? Réalisons-nous le travail qui nous est demandé face à cette situation? Sommes-nous conscients?
à méditer avec écoute et bienveillance (de soi même et des autres)
Inspiration of the day: https://www.linkedin.com/pulse/stoic-perspective-life-varun-srinivasan/ (source illustration)